Et si notre réalité provenait de nos croyances profondes ? Entre Bible, pouvoir créateur et champ vibratoire personnel, il explore l’idée que la foi façonne le monde. Oublier ce pouvoir mène à la souffrance ; s’en souvenir ramène au Royaume intérieur. Redevenir enfant : simplicité, responsabilité et création consciente de sa vie.

En cherchant qui il est, les identités s’effondrent une à une. Le besoin de se définir disparaît et les souffrances révèlent leur nature illusoire. Ce qui reste : le réel, nu, silencieux. Entre dissolution du moi, disparition des histoires mentales et élan d’aider, il avance vers une présence plus simple et authentique.

Prisonnier d’une dépendance affective écrasante, il découvre lors d’un exercice de The Work la croyance racine : “ma mère est partie parce qu’elle ne m’aimait pas”. Cette prise de conscience libère une part de lui. La douleur d’abandon s’allège et la relation respire enfin, laissant place à plus d’autonomie et de présence.

Après une période de paix profonde, une relation a ouvert sa boîte de Pandore et libéré blessures, peurs et chaos intérieur. Plutôt que s’effondrer, il a traversé l’épreuve en revenant au corps, retrouvant stabilité et acceptation. La relation devient alors un miroir précieux révélant amour, présence et maturation profonde intérieure.

Après des années à croire que vivre pauvre était spirituel, il redécouvre un vieux rêve d’enfant : vouloir de l’argent. Entre introspection, thérapie et ras-le-bol de la précarité, il reconnaît sa mentalité de pauvre et décide d’en sortir. Il assume ses désirs, ses compétences et son envie réelle de créer de la valeur.

Un rappel simple le secoue : il est né pour être heureux. Après des années de fuite verticale, il découvre l’importance de l’horizontal, de l’action et du mouvement. Apprendre à habiter son humanité, reconnaître ses désirs et avancer un jour à la fois devient son chemin vers une joie incarnée.

Un homme habitué à dire non découvre le mouvement à travers la danse, la poésie improvisée et des expériences corporelles inattendues. Entre peur, lâcher-prise et ouverture progressive, chaque “oui” élargit son espace intérieur. Il apprend à habiter son corps, à se libérer et à retrouver une joie simple.

La relation de couple révèle moins l’autre que soi-même. Ce texte incisif démonte l’idée que le bonheur dépend du partenaire. Il explore avec lucidité le piège des attentes, le rôle du mal-être intérieur, et rappelle que la paix vient d’une relation claire avec soi, non de l’autre.

Ce texte radical interroge la quête spirituelle et déconstruit l’idée même d’éveil. Derrière le désir d’extase, une découverte terrifiante : il n’y a personne. Ni moi, ni manifestation, ni pouvoir. Un voyage au cœur du vide, où même l’inexistence se révèle illusoire. Brut, dérangeant, lumineux d’une étrange clarté.

Après une plongée dans la dépression et la perte de Foi, une rencontre simple rallume la flamme intérieure. Ce récit bouleversant mêle humour, vulnérabilité et renaissance spirituelle. Il raconte la fin des béquilles et le retour à soi, là où l’amour, la joie et Dieu reprennent doucement leur place.

Avec humour et brutalité tendre, ce texte retrace la sortie des drogues pour révéler une autre addiction : la dépendance affective. Entre solitude forcée, peur du vide et quête d’autonomie, l’auteur explore la difficile mais salvatrice reconquête de soi. Un récit cru, touchant et profondément humain sur le rétablissement.

Entre éveil mystique et troubles psychiatriques, ce texte navigue avec lucidité et autodérision dans les illusions spirituelles et les blessures d’enfance. L’auteur y dévoile le piège des croyances, l’impact du diagnostic, et la beauté d’un retour sur Terre concret, humble et engagé. Un récit drôle, brut, bouleversant.

Ce texte explore avec lucidité et humour le bouleversement intérieur face au polyamour. D’abord perçu comme une fuite, il devient peu à peu un miroir thérapeutique. Entre peurs, désirs et croyances, l’auteur interroge ses blessures affectives, sa quête de liberté, et la possibilité d’aimer sans posséder.

Une plongée poignante dans la faim affective issue de l’enfance. Ce texte dévoile l’addiction au lien, la peur du rejet, le besoin d’être vu, aimé, reconnu. Entre vulnérabilité crue et prises de conscience profondes, il trace le chemin fragile et courageux vers la liberté d’être soi, pleinement.

« Au clair-obscur » retrace un voyage intérieur entre lumière et ombre, où l’acceptation de soi devient un acte magique. De l’insouciance à la dépression, puis à la guérison soudaine, ce récit mêle humour, lucidité et poésie pour célébrer la liberté d’être soi, pleinement, humainement.

Deux êtres se rencontrent et se découvrent à travers leurs vulnérabilités. Leur relation devient un miroir intense, révélant peurs, blessures et beauté intérieure. Malgré l’inconfort, ils restent ensemble, affrontant leurs démons avec tendresse et honnêteté. Une aventure émotionnelle profonde, entre chaos intime et respect mutuel.

L’auteur démonte avec humour et lucidité une croyance tenace : celle d’une acceptation sous condition, qui confond éveil et refus de la vie réelle. En abandonnant la quête obsessionnelle de paix et de joie, il découvre une équanimité véritable — fluide, vivante, libre. Un texte aussi profond qu’hilarant (vaseline comprise).

Derrière le masque du détachement spirituel, l’auteur découvre une vérité brute : la paix ne se fabrique pas, elle émerge quand on cesse de fuir. En acceptant pleinement la douleur, les larmes et la vulnérabilité, il touche une force insoupçonnée. Un récit bouleversant de capitulation fertile et de transformation intérieure.

À travers l’éveil d’un amour inattendu, l’auteur redécouvre la magie d’exister, avec ses élans, ses peurs et sa beauté brute. D’un cœur fossilisé à un être vibrant, ce texte célèbre la vulnérabilité, le désir, et la gratitude face à la vie qui pulse à nouveau. Une lettre d’amour à la renaissance.